ИНТЕЛРОС > №6, 2005 > Reste, viens

Jean-Luc Nancy
Reste, viens


24 сентября 2011
Qu’il est difficile d’écrire alors que le silence s’impose. Et pourtant il le faut, il faut sans attendre adresser le salut. Jacques, il m’est impossible d’écrire aujourd’hui autrement qu’en m’adressant à toi. Déjà, revenant de Paris après t’avoir vu, je pensais que je t’écrirais chaque jour un mot, pour passer les limites et la fatigue, pour toi, du téléphone. Et voici que c’est la seule lettre possible.

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