ИНТЕЛРОС > №6, 2005 > Hommage Philippe Lacoue-Labarthe
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De quelque façon qu’on s’y prenne, il n’y a rien à dire. Parler, brutalement, est impossible. Le deuil, comme la mort, ne se partage pas. Nous restons seuls – ce mot inquiétant dont nul ne sait d’où il vient.
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